Ce sera juste l'entame.
Encore moins qu'une introduction, ou un prologue.
Et ce sera à vous d'écrire ou d'imaginer la suite.
De la créer.
D'y aller.
Car là, je ne sais pas.
Il y a chez W-S Burn quelque chose qui est de l'ordre du défi.
Une ode qui défie.
A la première écoute, c'est tellement étrange et d'apparence si "bancale", qu'il y a comme une volonté de ne pas sonner disons "juste", c'est à dire comme on a l'habitude que sonne un duo.
Avec une voix bien placée et de la musique pour tout envelopper.
Pas ici.
La voix est un instrument parfois déroutant, et celle de Pixie est le dernier fil.
Exactement le dernier fil.
Et pourtant, c'est ce qui fait la force même de cette voix. Frêle mais sans éprouver le moindre doute sur sa capacité à retourner ce qui pourrait être une faiblesse en une force merveilleuse, celle de la singularité d'une exquise étrangeté.
A vous d'imaginer la suite, maintenant.
Encore moins qu'une introduction, ou un prologue.
Et ce sera à vous d'écrire ou d'imaginer la suite.
De la créer.
D'y aller.
Car là, je ne sais pas.
Il y a chez W-S Burn quelque chose qui est de l'ordre du défi.
Une ode qui défie.
A la première écoute, c'est tellement étrange et d'apparence si "bancale", qu'il y a comme une volonté de ne pas sonner disons "juste", c'est à dire comme on a l'habitude que sonne un duo.
Avec une voix bien placée et de la musique pour tout envelopper.
Pas ici.
La voix est un instrument parfois déroutant, et celle de Pixie est le dernier fil.
Exactement le dernier fil.
Et pourtant, c'est ce qui fait la force même de cette voix. Frêle mais sans éprouver le moindre doute sur sa capacité à retourner ce qui pourrait être une faiblesse en une force merveilleuse, celle de la singularité d'une exquise étrangeté.
A vous d'imaginer la suite, maintenant.
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