5.3.11

Sylvain Chauveau - Le Livre Noir du Capitalisme




  • 1/ Et peu à peu les flots respiraient comme on pleure
  • 2/ JLG
  • 3/ Hurlements en faveur de Serge T.
  • 4/ Le marin rejeté par la mer
  • 5/ Dernière étape avant le silence
  • 6/ Dialogues avec le vent
  • 7/ Ses mains tremblent encore
  • 8/ Ma contribution à l'industrie phonographique
  • 9/ Géographie intime
  • 10/ Je suis vivant et vous êtes morts
  • 11/ Mon royaume
  • 12/ Potlatch (1971-1999)
  • 13/ Un souffle remua la nuit

1 commentaire:

EdkOb a dit…

C'est son tout premier alboume, en 2000.

Toute comparaison est abusive, hasardeuse, donc évitable, mais c'est aussi intense que (au hasard) « La Mort d'Orion » de Gérard Manset. C'est dire l'immensité de l'objet sonore.

Alboume de tous les défis, superbe et dense, avec des instants lumineux et aussi des instants qui provoquent un profond sentiment de malaise.
Sombre, parfois même angoissant.
Entre ombres et lumières, c'est tout le spectre lumineux qui est mis en sons.
Totalement indispensable, tant la maîtrise du propos (musique, arrangements, silences, retenues...) est éclatante.

La musique agit comme une fièvre, d'abord légère puis de plus en plus tenace, modifiant nos perceptions. Nous voilà alors prêts, prêts pour éprouver des sentiments peu ou mal connus, enfouis, restés loin dans nos esprits / âmes.

Difficile de mettre en mots ces sentiments et ces émotions, cette musique nous change.
Profondément.

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