Quand le dernier arbre aura été abattu,
quand la dernière rivière aura été empoisonnée,
quand le dernier poisson aura été pêché...
Alors, on saura que l’argent ne se mange pas.
GERONIMO
2.4.07
161 - ferdydurke
eh bien lisez (au moins une fois) maintenant (c'était le conseil de lecture de ce jour).
3 commentaires:
Anonyme
a dit…
Raconter mes peripéties juste en passant. Une journée ensoleillée où les parcs ne demandent qu'à ce que des lecteurs en perditions s'installent, le temps de vivre, le temps de respirer. Avant de répondre à ce commandement, un livre approprié me manquai. Un détour par une librairie se fit donc indispensable. Se promener dans les rayons jusqu'à ce que le coup de coeur se fasse sentir. Lire les tranches de haut en bas, sortir un livre puis regarder sa couverture, oser se ballader sur sa quatrième, guetter sa dernière phrase, puis le reposer. Arriver en bas de l'étallage, epier chaque trésor, puis lever les yeux et tomber nez à nez avec ferdydurke. Pour finallement se souvenir du conseil et se dire qu'il n'y a pas de hasard. Le garder en main jusqu'à la caisse, -sachant qu'une bribe de joie se cache dans ses mots- et jusqu'au facheux evenement de la caisse n°13. Ferdydurke ne sera que songe pour ce soir, Le festin de la comtesse fritouille et autres nouvelles me tiendra donc en halène, attendant que mon banquier admette que la litterature n'a pas de prix. Bien à toi.
Bonne chance pour t'emparer de ce livre. Peut-être lui faut-il encore un peu de temps, avant d'être sous ton regard. Détours, attente. Et là, il t'accompagnera longtemps. Je ne l’ai découvert que très récemment, en passant. Les supports des mots sont aussi des tyrans.
3 commentaires:
Raconter mes peripéties juste en passant.
Une journée ensoleillée où les parcs ne demandent qu'à ce que des lecteurs en perditions s'installent, le temps de vivre, le temps de respirer.
Avant de répondre à ce commandement, un livre approprié me manquai. Un détour par une librairie se fit donc indispensable. Se promener dans les rayons jusqu'à ce que le coup de coeur se fasse sentir. Lire les tranches de haut en bas, sortir un livre puis regarder sa couverture, oser se ballader sur sa quatrième, guetter sa dernière phrase, puis le reposer. Arriver en bas de l'étallage, epier chaque trésor, puis lever les yeux et tomber nez à nez avec ferdydurke. Pour finallement se souvenir du conseil et se dire qu'il n'y a pas de hasard.
Le garder en main jusqu'à la caisse, -sachant qu'une bribe de joie se cache dans ses mots- et jusqu'au facheux evenement de la caisse n°13.
Ferdydurke ne sera que songe pour ce soir, Le festin de la comtesse fritouille et autres nouvelles me tiendra donc en halène, attendant que mon banquier admette que la litterature n'a pas de prix.
Bien à toi.
Bonne chance pour t'emparer de ce livre.
Peut-être lui faut-il encore un peu de temps, avant d'être sous ton regard. Détours, attente.
Et là, il t'accompagnera longtemps.
Je ne l’ai découvert que très récemment, en passant.
Les supports des mots sont aussi des tyrans.
Je te lis, maintenant.
Ta flamme ne vacille pas.
Avant de vaciller il lui faut oser être. Trop de fébrillité et c'est la flamme qui s'éteind. Reminiscence. Elle reprendra vie lentement.
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