Juste reçu, il y a peu.
Et déjà très grande addiction.
Enorme.
Ce sera le deuxième objet sonore de cet an deux mille 9.
Je ne sais pas s'il est possible de l'écouter en ligne, comme c'est le cas pour le premier objet sonore de l'an deux mille 9.
Mais peu importe, faites-moi confiance.
Oui, je sais, la confiance est une denrée en voie de disparition. C'est l'époque qui veut ça, entend-on dans sur les zinc et sur les terrasses. C'est le chacun pour soi de ces années frics devenues boulimiques. Tellement boulimiques qu'ils se bouffent entre eux. Le "ménage" a été fait, et ainsi, il y a moins de goinfres pour un gâteau toujours aussi gros. D'où la fausse idée que certains se font (nââân, pas le Font de Font & Val, oui, Val, le chansonnier boursouflé et Font, tiens, Font au fait, que fais-tu ?), celle d'assister à la mise à terre de quelques goinfres. Mais nous aurions tort de nous en réjouir, car pour quelques naufrageurs mis à terre, d'autres prospèrent, et vont devenir encore plus boulimiques.
Mais je m'égare. Ce n'est pas le propos.
Pour que ce message ressemble à un message de bleaugue musical (qui participe à la compétition de mettre en libre téléchargement des alboumes entiers en espérant peut-être naïvement que cela donnera en-vie aux passantEs d’acheter ce qu’ils aiment, et d’effacer de leur disque dur les autres) , un vrai, voici quelques éléments pertinents. PassantEs, veuillez s'il vous plaît être attentives / attentifs et lire ce qui suis jusqu'à son terme (merci, sincèrement merci) :
Ellery Eskelin - tenor saxophone / Sylvie Courvoisier - piano
1 Moderato Cantabile (8:05)
2 Architectural (6:23)
3 A Distant Place (9:23)
4 Every So Often (5:01)
5 Open Channel (5:14)
6 Accidentals (7:38)
7 Wave Off (7:50)
8 Blind Spot (7:21)
9 Processing (6:26)
Et ce message, sur le site d'Ellery Eskelin, que je prends tout particulièrement pour moi.
Please, dear fans...we ask that you do not share this recording on-line or by making copies for others. We appreciate it. Thanks.
Ok, ça marche, pas de liens. (OK, no links to share. I understood the message. Dear Ellery, continues "simply" to produce all these beautiful musics.)
Cet album (grandiose, tellurique, aérien et stupéfiant, tant ce duo nous offre un de ces trucs inouï) est uniquement disponible par internet.
Sur le site d'Ellery (je vais finir attaché de presse d'Ellery, si ça continue ainsi).
Je résume (c'est, il me semble, utile & nécessaire).
Vous devez commander cet alboume par internet.
Voilà.
Ah oui, le lien : c'est ici.
Ainsi, vous pourrez AUSSI commander d'autres alboumes.
Et hop, encore une mission accomplie par le passant.
Et déjà très grande addiction.
Enorme.
Ce sera le deuxième objet sonore de cet an deux mille 9.
Je ne sais pas s'il est possible de l'écouter en ligne, comme c'est le cas pour le premier objet sonore de l'an deux mille 9.
Mais peu importe, faites-moi confiance.
Oui, je sais, la confiance est une denrée en voie de disparition. C'est l'époque qui veut ça, entend-on dans sur les zinc et sur les terrasses. C'est le chacun pour soi de ces années frics devenues boulimiques. Tellement boulimiques qu'ils se bouffent entre eux. Le "ménage" a été fait, et ainsi, il y a moins de goinfres pour un gâteau toujours aussi gros. D'où la fausse idée que certains se font (nââân, pas le Font de Font & Val, oui, Val, le chansonnier boursouflé et Font, tiens, Font au fait, que fais-tu ?), celle d'assister à la mise à terre de quelques goinfres. Mais nous aurions tort de nous en réjouir, car pour quelques naufrageurs mis à terre, d'autres prospèrent, et vont devenir encore plus boulimiques.
Mais je m'égare. Ce n'est pas le propos.
Pour que ce message ressemble à un message de bleaugue musical (qui participe à la compétition de mettre en libre téléchargement des alboumes entiers en espérant peut-être naïvement que cela donnera en-vie aux passantEs d’acheter ce qu’ils aiment, et d’effacer de leur disque dur les autres) , un vrai, voici quelques éléments pertinents. PassantEs, veuillez s'il vous plaît être attentives / attentifs et lire ce qui suis jusqu'à son terme (merci, sincèrement merci) :
Ellery Eskelin - tenor saxophone / Sylvie Courvoisier - piano
1 Moderato Cantabile (8:05)
2 Architectural (6:23)
3 A Distant Place (9:23)
4 Every So Often (5:01)
5 Open Channel (5:14)
6 Accidentals (7:38)
7 Wave Off (7:50)
8 Blind Spot (7:21)
9 Processing (6:26)
Et ce message, sur le site d'Ellery Eskelin, que je prends tout particulièrement pour moi.
Please, dear fans...we ask that you do not share this recording on-line or by making copies for others. We appreciate it. Thanks.
Ok, ça marche, pas de liens. (OK, no links to share. I understood the message. Dear Ellery, continues "simply" to produce all these beautiful musics.)
Cet album (grandiose, tellurique, aérien et stupéfiant, tant ce duo nous offre un de ces trucs inouï) est uniquement disponible par internet.
Sur le site d'Ellery (je vais finir attaché de presse d'Ellery, si ça continue ainsi).
Je résume (c'est, il me semble, utile & nécessaire).
Vous devez commander cet alboume par internet.
Voilà.
Ah oui, le lien : c'est ici.
Ainsi, vous pourrez AUSSI commander d'autres alboumes.
Et hop, encore une mission accomplie par le passant.
5 commentaires:
Thanks Ellery,
I promise : no links to share.
I publish simply 2 messages to inform some passers-by who come on my blog. (My blog is called an opinion(notice) in passing, thus there are passers-by. Saddened if my English is not in the point, I use one of these on-line dictionaries, and I do not know if the résulttat will be correct.)
All my best regards and my best thoughts for this new year.
Goodbye, I hope, somewhere in France.
http://unavisenpassant.blogspot.com/2009/01/703-sylvie-couvoisier-ellery-eskelin.html
http://unavisenpassant.blogspot.com/2009/01/704-sylvie-courvoisier-ellery-eskelin.html
There is so often, and the first times, all the first times, especially those where we listen to a music so singular and beautiful.
For that purpose, still thank you.
EdkOb.
I absolutely have to keep(guard) my pen name, because we are in one terrible time(period) when the opinions become criminal.
Thus EdkOb I am.
But only for those who(which) do not arrange files.
Because "they", they know that I am edmond (oops).
Pen name? The translation of pen name is strange. The other one exists you he(it) there, because "pen" disturbs me a lot.
It is very purely French, but it is all the same one of the main inspirers of the French-style bushisme.
This nationalism rance and putrid which affects our lives and which widely inspired the French politics(policy) of these last 6 years, with an accélaration towards the ignoble since 2007.
M.EdKob
Il faut tjrs avoir confiance. Vs etes l'example meme. Et ns sommes qlqs un a vs suivre. Parce qu'on peut vs faire confiance, justement.
Bonne annee - et surtout, bonnes suites pour cette annee qui arrive!
Fada d'AB
Aïe, ouille, zut et damned ;-)
Je suis harcelé par le fana d'AB. (re-aïe)
Oui, ce sympathique et amical passant est fidèle à ce bleaugue parfois foutraque. (Le bleaugue, mais pas que...)
Il (oui, toi, le fana d'AB) se manifeste, ce que je trouve très touchant (oui, touchant), car il prend le temps de déposer un message amical.
De manifester des mots amicaux. Des mots dits. Je sais que c'est la loi du genre, que beaucoup passent, mais que (très très) peu prennent le temps de laisser des mots, et quand un fana passe... je ne boude pas mon plaisir.
Alors, cher fada d'AB, ne change rien, reste fada (d'AB ou de qui tu voeux - oups) et encore merci de passer. Et tu peux passer quand tu veux. Voilà.
Alors vive l'an deux mille 9, comme neuf. En souhaitant du 9. Aux passantEs. Et aux amiEs de passage. Avis. De pas sages.
Non, non, mais c'est moi qui suis touche...
Et fada pour tjrs, n'est-ce pas, bien que nous soyons egalement vieux, tous les deux. (Tant qu'on est fada, on n'est pas vieux. N'est-ce pas?)
Et si vous, c'est Edmond, moi, c'est Mark. Ok?
Ok, Mark, ça marche.
Merci de passer.
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