22.1.08

321 - 2 voix d'ailleurs : Marie BOINE & Sara ALEXANDER



Marie BOINE est une passante des Potlatch. Normal, c'est une voix.
Pour les curieux, il y a des traces de Marie par
ici. (Voir les Potlatch 6, 14, 21 & 26).

Et là, avant peut-être d'autres, voici un alboume plein.
Pour accompagner les soirées d'hiver au coin. Dans tous les coins.


(lien vous savez où)





Sara ALEXANDER apporte une nouvelle voix, ici.
Celle d'un espérance. D'une utopie.

Petite fiche technique :

1. Cafe Turc
2. Nakkash
3. Madre – Intro
4. Madre – Istanbul
5. Yam Hatichon
6. Kohelet
7. Erga
8. Sherale
9. Korban
10. Bedimyoni
11. Ani Maami
12. Sarajevo
13. Galut (Karli Kayin Ormani)

SARA ALEXANDER (chant, accordéon)
ANELLO CAPUANO (luth, saz, mandoline)
PHILIPPE BRIEGH (clarinette, sax soprane, violon)
EMEK EVCI (countrebasse)
MANU LEHOUEZEC (cornemuse, sax tenor, flûte)
RAVY MAGNIFIQUE (tablas, batterie)
PIERRE RIGOPOULOS (reqq, daf, zarb, derbouka)
MATHIAS DUPLESSY (guitares acoustique et électrique)
SOPHIA CHARAÏ (chant)
HAROUN TEBOUL (chant, neys, tempur à archet)
LAHOUARI BENEDJADI (chant, guembri)

(lien vous savez où)

3 commentaires:

EdkOb a dit…

Marie Boine "Gula Gula" :
http://rapidshare.com/files/85773902/MB_GG.rar

Sara Alexander "Best Of" : http://rapidshare.com/files/85774536/SA_BO.rar

C'est ainsi, voilà 2 voix.
De belles voies.
Pour les passantEs.
Mes âmes patientes...
Mes virtuelles.

korentinkoki a dit…

bonjour un avis en passant

au temps du pessimisme, on a l'impression que tout passe mal

mais il y a des rayons de soleil et des musiques de traverse

traversé du désert : c'est une illusion, il y a des oasis partout, et il faut des passeurs pour retrouver les cartes

juste un grand merci en passant, pour l'envie de rejoindre ce qui se passe en ce moment, pour l'esthetique du blog, et pour tous ces post papillonnants zé ôtre

EdkOb a dit…

Merci pour ce message matinal et ce passage amical.

Le terrain d'internet permet aussi d'échapper à la morosité obligatoire. Craindre, éprouver de la peur sont des mamelles juteuses.

Nous augmentons la taille des interstices, parfois en musique, avec nos désirs et nos mots. Nous existons au-delà, ailleurs, entre, derrière, à côté. Discrets, minoritaires, sans volonté de compétition mais déterminés.

Ce "nous" du maillage incontrôlable me plait beaucoup, en ces temps de volonté de contrôle permanent des vies.

@ bientôt ici et là.