Voilà.
Il le dit tellement mieux que je ne saurais le faire.
Et en plus, c'est exactement comme ça.
Les faits bruts de décoffrage.
Simplement pour ne pas renoncer.
Aujourd'hui, c'est tous les jours qu'il faut faire son devoir de mémoire, tant nous sommes submergés par la futilité.
Ah, il y a donc 10 pimpins qui ont endommagé des caténaires, et c'est l'alerte rouge générale ?
Mais que fait-on contre l'insupportable pression qui s'exerce tous les jours contre les plus démunis, que l'on dresse les uns contre les autres ?
Quitte à instrumentaliser les haines, les peurs, par des politiques concertées de quotas, de chômage, de travail précaire.
Par des politiques de dérèglementation des services publics.
Pour offrir encore du gras et des parts de gâteaux aux goinfres.
L'ultra-droite facho-libérale n'est pas prête de se convertir, tant qu'il y a du profit quelque part.
Tout le reste n'est que poudre aux yeux.
Du pain (de moins en moins), des jeux (de plus en plus).
Et il faudrait, en plus, se courber avec le sourire, garder une certaine retenue, se serrer d'un cran supplémentaire la ceinture... pour que ces salopards là se goinfrent toujours plus ?
Qu'ils crèvent !
Je n'ai jamais pensé un instant que l'état viendrais au secours des naufrageurs.
Car l'État, c'est le Droit, la Loi, la protection des plus démunis.
C'est ça, un État.
Et pas des complices des naufrageurs.
Avant, les naufrageurs étaient châtiés.
Eh bien voilà, c'est fait. La "nouvelle gouvernance" (comme ils disent pour faire moderne) veut que l'état (avec un tout petit "e") assiste et aide les naufrageurs.
Désormais, l'État est définitivement aux côtés des naufrageurs, des prévaricateurs, des voleurs.
Et le truc est de nous faire passer cela comme une mesure "indispensable".
Mais indispensable pour qui ?
Pour les naufrageurs.
Ils ont encore tellement de feux à allumer, de brasiers à déclencher, de guerres à entamer, de ressources à piller, de gens à truander, quitte à directement les flinguer, de paysans à ruiner, d'ouvriers à soumettre, de haines à déclencher, de peurs à créer... que l'aide de l'état est indispensable.
Après, fastoche de se garder sous le coude quelques pimpims pour monter en épingle toute cette diversion, avec gros titres à la une et délires sécuritaires à la clé.
Se gonfler devant les caméras, pour tenter d'exister, alors que la politique de destruction de l'état provoque infiniment plus de dégâts et plus de destruction que quelques caténaires endommagés.
Peuple de veau mou du bulbe qui ne sait regarder que là où on lui dit.
La météo, tiens, c'est important, ça, la météo.
Nous détruisons les sols, le temps n'a plus d'influence mais faut regarder la météo.
Tous scotchés devant un corps qui fait des signes devant une carte de France.
Si Choron vivait encore, c'est à poil, qu'il aurait présenté la météo.
Et ça aurait eu beaucoup plus de tenue que cette mascarade.
L'horoscope aussi, ça compte.
Savoir ce qui ne va pas nous arriver et lire toutes ces foutaises qui vont nous arriver.
Suffit de partager une salle d'attente, pour voir quelles sont les pages les plus lues, dans ces magazines creux qui n'informent sur rien, mais vendent de la pub.
Joffrin, le journaliste le plus bête de France, , disait de son NO qu'il faisait un "gala pour riches".
Maintenant, il achève la mue de Libé en canard de droite, depuis le temps que ça trainait (1983 et ce stupide "Vive la Crise", annonciateur de tous ces renoncements tellement tendance, tellement "moderne").
Nous ne pouvons compter que sur nous.
Jamais la presse et les médias ne nous aiderons, jamais.
Et comme nous ne pouvons compter que sur nous, va falloir montrer que notre indulgence sera terrible.
Et immanquablement, irrémédiablement (comme dans diable !) va se poser la question de la violence de résistance à opposer face à toute cette violence subie.
Car pour l'instant, nous sommes en phase de soumission totale.
S'il y a des sabotages à organiser, moi, je commencerais par la téloche.
Sans hésiter.
Cet appareil diffuse la meilleure des propagandes possible.
C'est du lavage de cerveaux quotidien, permanent et durable.
Alors les 10 pimpins, au lieu de saboter (ach ! zezi ist ein zabotage !) des caténaires, allez plutôt voir du côté des studios de télé, des relais (ah les relais....) et autres appareils à diffuser toute cette boue.
Qui nous avilit.
Xavier Darcos, si tu me lis, voici donc un exemple d'opinions qui doit te hérisser le poil !
Car là, je donne des idées de zabotage !
En plus, je pense très sincèrement que ce serait rendre service à l'Humanité (non, Xavier, pas le journal, l'un des seuls à informer sur les faits sociaux et à ne pas sombrer dans le vulgaire, mais à l'espèce humaine.)
Elle en sortirait grandie.
Le tout, maintenant, c'est donc de saboter des relais...
Oui, c'est très grave que d'appeler à saboter.
Je me demande d'ailleurs si cet appel est à prendre au second degré ?
Au hasard, disons oui
Car je ne suis pas pour la ruine des voleurs de patates..
Voleurs de patates qui disposent d'amis puissants, et trouvent toujours à se recaser.
Toujours.
Donc, second degré, hein ! Faut pas jouer avec ça.
Trop précieux, l'instrument qui est dans chaque maison, appartement, cellule, ... trop précieux et tellement pratique, pour conditionner.
Avant, l'opinion publique n'existait pas.
Nous étions un résultat complexe d'une filiation, d'une histoire de famille, d'un territoire, d'un métier, d'un apprentissage, d'un cheminement personnel et collectif, d'accidents de vie..
Aujourd'hui, tous nous savons siffler un truc publicitaire.
Tous, en même temps, nous entendons les mêmes choses.
C'est la meilleure définition du totalitarisme.
Écraser les différences, les singularités.
Nous avons même dépassé le cauchemar de 1984, car notre totalitarisme est "soft".
Il élimine toute forme d'opposition, vu qu'il fabrique des fausses oppositions...
Avec notre soutien, bien entendu.
Nous participons et même nous en redemandons.
Ca, c'est un truc qu'à très bien compris Sarkozy.
Dès son arrivée en 2002, après la raclée subie par Jospin, tous les jours, je dis tous les jours, les médias citaient au moins une fois le nom de Sarkozy.
Les amis de Sarkozy l'ont puissamment aidé.
Suffisait de tourner le bouton, et voilà, vous étiez certains d'entendre le nom de Sarkozy, et de le voir.
Voilà à quel point la téloche est nuisible.
Car in fine, le bilan est terrible.
Mettre au pouvoir l'ultra-droite facho-libérale, il n'y a pas pire scénario.
Mais la téloche et tous les médias ont travaillé pour atteindre cet objectif.
Voilà en quoi cette téloche et les médias sont nos pires ennemis.
Ils sont capables de nous faire voter pour ceux qui veulent détruire l'état, revenir à la loi de la jungle.
Et en plus, ils le disent très clairement, sur et certains de n'avoir rien à craindre.
Ce qui est le cas.
Ils veulent revenir sur les acquis du CNR.
Ils le disent sans se cacher.
Là où des gens au sortir de la 2° guerre mondiale avaient ensemble imaginé un état fort pour protéger les plus démunis et garantir des conditions de vies dignes, eux, ces salopards, n'ont comme but que de revenir en arrière, où seul le fort est légitime.
Le fort étant le riche.
Et le riche, peu lui importe des services publics.
D'où la casse actuellement organisée.
Je sais, cette casse n'est pas le seul fait de l'ultra-droite facho-libérale.
Il y a eu un épisode très douloureux où cette casse a été aussi l'objet de la "gauche".
Et même, je ne suis pas certain que cela n'est pas encore implanté dans des neurones d'hommes ou de femmes se disant "de gauche".
Car cette fausse opposition fabriquée, elle se retrouve exactement là.
Dans cette convergence des volonté pour détruire les structures de l'état, éliminer les services publics et retourner à la loi de la jungle.
La seule différence, c'est la notion de temps.
Certains sont plus pressés que d'autres.
C'est tout.
Voilà le pouvoir de nuisance des médias.
Ce qu'avait très bien compris le CNR qui avait la volonté de séparer les puissances du fric des journaux.
Ben là, avec l'ultra-droite facho-libérale, c'est plus que raté.
Ce que Mitterrand avait entamé (remember la 5 et ... Berlusconi !), la droite l'a amplifié d'une manière terrible.
La meute est désormais lâchée, et elle fond sur nous tous.
Jusqu'à quand allons-nous supporter cela ?
Ce totalitarisme basé sur la frénésie de consommation, sur l'hyper-consommation qui fait de nous des animaux, ce qui est le but recherché par les publicitaires, qui sont eux aussi les pires ennemis du genre humain.
Faire de nous que des machines à consommer, donc à être toujours frustrées.
Et cela, en s'entourant d'experts et de scientifiques en sciences cognitives.
Si vous en croisez un, un jet de salive ne suffira pas à réparer tous les dégâts que ces scientifiques nous causent.
Faudrait là aussi pourrir leurs vies comme ils pourrissent les nôtres.
Y'a pas de raison de prendre des coups et de ne JAMAIS LES RENDRE.
Et le tout, passe par le canal médias.
Supprimons les médias vendus.
Et là, il est essentiel de faire une loi de séparation des pouvoirs.
Le pouvoir financier doit être interdit de posséder des médias, quels qu'ils soient.
Revenons aux lois du CNR.
La liberté de la presse est une foutaise monumentale.
Il faut absolument supprimer le lien de subordination entre les journalistes et les financiers qui les salarient (d'une manière très précaire, en plus).
Et ça, ce n'est pas du tout impossible.
Il y a des centaines de milliards d'euro disponibles pour ces naufrageurs là, et rien pour réellement assumer la volonté d'aller vers la démocratie.
L'ultra-droite facho-libérale fera tout pour encore plus verrouiller (voir les assises sur la presse, bouffonnerie de plus, voir la fin de la pub sur le faussement nommé "service public"), mais nous ?
On laisse faire aussi ?
On va encore accepter longtemps de se faire intoxiquer ?
D'assister impuissants à la ruine de ce pays pour le profit d'une minorité de goinfres.
Pire.
D'y participer.
Vu que c'est toujours la fleur au fusil que nous allons au devant de notre propre massacre.
oui, je sais, bocal et tout et tout.
Sauf que là, le PS devrait quand même se bouger le cul, et vite.
Car c'est une question importante : comment contrer cette ruine de notre pays, cette chronique d'une acculturation programmée, cet abrutissement généralisé qui est le fidèle soldat de cette ultra-droite facho-libérale.
PS (hélas !) : je rend à Jean-Pierre Martin le (C) de l'expression "ultra-droite facho-libérale". C'est toujours un plaisir de le lire.
Il le dit tellement mieux que je ne saurais le faire.
Et en plus, c'est exactement comme ça.
Les faits bruts de décoffrage.
Simplement pour ne pas renoncer.
Aujourd'hui, c'est tous les jours qu'il faut faire son devoir de mémoire, tant nous sommes submergés par la futilité.
Ah, il y a donc 10 pimpins qui ont endommagé des caténaires, et c'est l'alerte rouge générale ?
Mais que fait-on contre l'insupportable pression qui s'exerce tous les jours contre les plus démunis, que l'on dresse les uns contre les autres ?
Quitte à instrumentaliser les haines, les peurs, par des politiques concertées de quotas, de chômage, de travail précaire.
Par des politiques de dérèglementation des services publics.
Pour offrir encore du gras et des parts de gâteaux aux goinfres.
L'ultra-droite facho-libérale n'est pas prête de se convertir, tant qu'il y a du profit quelque part.
Tout le reste n'est que poudre aux yeux.
Du pain (de moins en moins), des jeux (de plus en plus).
Et il faudrait, en plus, se courber avec le sourire, garder une certaine retenue, se serrer d'un cran supplémentaire la ceinture... pour que ces salopards là se goinfrent toujours plus ?
Qu'ils crèvent !
Je n'ai jamais pensé un instant que l'état viendrais au secours des naufrageurs.
Car l'État, c'est le Droit, la Loi, la protection des plus démunis.
C'est ça, un État.
Et pas des complices des naufrageurs.
Avant, les naufrageurs étaient châtiés.
Eh bien voilà, c'est fait. La "nouvelle gouvernance" (comme ils disent pour faire moderne) veut que l'état (avec un tout petit "e") assiste et aide les naufrageurs.
Désormais, l'État est définitivement aux côtés des naufrageurs, des prévaricateurs, des voleurs.
Et le truc est de nous faire passer cela comme une mesure "indispensable".
Mais indispensable pour qui ?
Pour les naufrageurs.
Ils ont encore tellement de feux à allumer, de brasiers à déclencher, de guerres à entamer, de ressources à piller, de gens à truander, quitte à directement les flinguer, de paysans à ruiner, d'ouvriers à soumettre, de haines à déclencher, de peurs à créer... que l'aide de l'état est indispensable.
Après, fastoche de se garder sous le coude quelques pimpims pour monter en épingle toute cette diversion, avec gros titres à la une et délires sécuritaires à la clé.
Se gonfler devant les caméras, pour tenter d'exister, alors que la politique de destruction de l'état provoque infiniment plus de dégâts et plus de destruction que quelques caténaires endommagés.
Peuple de veau mou du bulbe qui ne sait regarder que là où on lui dit.
La météo, tiens, c'est important, ça, la météo.
Nous détruisons les sols, le temps n'a plus d'influence mais faut regarder la météo.
Tous scotchés devant un corps qui fait des signes devant une carte de France.
Si Choron vivait encore, c'est à poil, qu'il aurait présenté la météo.
Et ça aurait eu beaucoup plus de tenue que cette mascarade.
L'horoscope aussi, ça compte.
Savoir ce qui ne va pas nous arriver et lire toutes ces foutaises qui vont nous arriver.
Suffit de partager une salle d'attente, pour voir quelles sont les pages les plus lues, dans ces magazines creux qui n'informent sur rien, mais vendent de la pub.
Joffrin, le journaliste le plus bête de France, , disait de son NO qu'il faisait un "gala pour riches".
Maintenant, il achève la mue de Libé en canard de droite, depuis le temps que ça trainait (1983 et ce stupide "Vive la Crise", annonciateur de tous ces renoncements tellement tendance, tellement "moderne").
Nous ne pouvons compter que sur nous.
Jamais la presse et les médias ne nous aiderons, jamais.
Et comme nous ne pouvons compter que sur nous, va falloir montrer que notre indulgence sera terrible.
Et immanquablement, irrémédiablement (comme dans diable !) va se poser la question de la violence de résistance à opposer face à toute cette violence subie.
Car pour l'instant, nous sommes en phase de soumission totale.
S'il y a des sabotages à organiser, moi, je commencerais par la téloche.
Sans hésiter.
Cet appareil diffuse la meilleure des propagandes possible.
C'est du lavage de cerveaux quotidien, permanent et durable.
Alors les 10 pimpins, au lieu de saboter (ach ! zezi ist ein zabotage !) des caténaires, allez plutôt voir du côté des studios de télé, des relais (ah les relais....) et autres appareils à diffuser toute cette boue.
Qui nous avilit.
Xavier Darcos, si tu me lis, voici donc un exemple d'opinions qui doit te hérisser le poil !
Car là, je donne des idées de zabotage !
En plus, je pense très sincèrement que ce serait rendre service à l'Humanité (non, Xavier, pas le journal, l'un des seuls à informer sur les faits sociaux et à ne pas sombrer dans le vulgaire, mais à l'espèce humaine.)
Elle en sortirait grandie.
Le tout, maintenant, c'est donc de saboter des relais...
Oui, c'est très grave que d'appeler à saboter.
Je me demande d'ailleurs si cet appel est à prendre au second degré ?
Au hasard, disons oui
Car je ne suis pas pour la ruine des voleurs de patates..
Voleurs de patates qui disposent d'amis puissants, et trouvent toujours à se recaser.
Toujours.
Donc, second degré, hein ! Faut pas jouer avec ça.
Trop précieux, l'instrument qui est dans chaque maison, appartement, cellule, ... trop précieux et tellement pratique, pour conditionner.
Avant, l'opinion publique n'existait pas.
Nous étions un résultat complexe d'une filiation, d'une histoire de famille, d'un territoire, d'un métier, d'un apprentissage, d'un cheminement personnel et collectif, d'accidents de vie..
Aujourd'hui, tous nous savons siffler un truc publicitaire.
Tous, en même temps, nous entendons les mêmes choses.
C'est la meilleure définition du totalitarisme.
Écraser les différences, les singularités.
Nous avons même dépassé le cauchemar de 1984, car notre totalitarisme est "soft".
Il élimine toute forme d'opposition, vu qu'il fabrique des fausses oppositions...
Avec notre soutien, bien entendu.
Nous participons et même nous en redemandons.
Ca, c'est un truc qu'à très bien compris Sarkozy.
Dès son arrivée en 2002, après la raclée subie par Jospin, tous les jours, je dis tous les jours, les médias citaient au moins une fois le nom de Sarkozy.
Les amis de Sarkozy l'ont puissamment aidé.
Suffisait de tourner le bouton, et voilà, vous étiez certains d'entendre le nom de Sarkozy, et de le voir.
Voilà à quel point la téloche est nuisible.
Car in fine, le bilan est terrible.
Mettre au pouvoir l'ultra-droite facho-libérale, il n'y a pas pire scénario.
Mais la téloche et tous les médias ont travaillé pour atteindre cet objectif.
Voilà en quoi cette téloche et les médias sont nos pires ennemis.
Ils sont capables de nous faire voter pour ceux qui veulent détruire l'état, revenir à la loi de la jungle.
Et en plus, ils le disent très clairement, sur et certains de n'avoir rien à craindre.
Ce qui est le cas.
Ils veulent revenir sur les acquis du CNR.
Ils le disent sans se cacher.
Là où des gens au sortir de la 2° guerre mondiale avaient ensemble imaginé un état fort pour protéger les plus démunis et garantir des conditions de vies dignes, eux, ces salopards, n'ont comme but que de revenir en arrière, où seul le fort est légitime.
Le fort étant le riche.
Et le riche, peu lui importe des services publics.
D'où la casse actuellement organisée.
Je sais, cette casse n'est pas le seul fait de l'ultra-droite facho-libérale.
Il y a eu un épisode très douloureux où cette casse a été aussi l'objet de la "gauche".
Et même, je ne suis pas certain que cela n'est pas encore implanté dans des neurones d'hommes ou de femmes se disant "de gauche".
Car cette fausse opposition fabriquée, elle se retrouve exactement là.
Dans cette convergence des volonté pour détruire les structures de l'état, éliminer les services publics et retourner à la loi de la jungle.
La seule différence, c'est la notion de temps.
Certains sont plus pressés que d'autres.
C'est tout.
Voilà le pouvoir de nuisance des médias.
Ce qu'avait très bien compris le CNR qui avait la volonté de séparer les puissances du fric des journaux.
Ben là, avec l'ultra-droite facho-libérale, c'est plus que raté.
Ce que Mitterrand avait entamé (remember la 5 et ... Berlusconi !), la droite l'a amplifié d'une manière terrible.
La meute est désormais lâchée, et elle fond sur nous tous.
Jusqu'à quand allons-nous supporter cela ?
Ce totalitarisme basé sur la frénésie de consommation, sur l'hyper-consommation qui fait de nous des animaux, ce qui est le but recherché par les publicitaires, qui sont eux aussi les pires ennemis du genre humain.
Faire de nous que des machines à consommer, donc à être toujours frustrées.
Et cela, en s'entourant d'experts et de scientifiques en sciences cognitives.
Si vous en croisez un, un jet de salive ne suffira pas à réparer tous les dégâts que ces scientifiques nous causent.
Faudrait là aussi pourrir leurs vies comme ils pourrissent les nôtres.
Y'a pas de raison de prendre des coups et de ne JAMAIS LES RENDRE.
Et le tout, passe par le canal médias.
Supprimons les médias vendus.
Et là, il est essentiel de faire une loi de séparation des pouvoirs.
Le pouvoir financier doit être interdit de posséder des médias, quels qu'ils soient.
Revenons aux lois du CNR.
La liberté de la presse est une foutaise monumentale.
Il faut absolument supprimer le lien de subordination entre les journalistes et les financiers qui les salarient (d'une manière très précaire, en plus).
Et ça, ce n'est pas du tout impossible.
Il y a des centaines de milliards d'euro disponibles pour ces naufrageurs là, et rien pour réellement assumer la volonté d'aller vers la démocratie.
L'ultra-droite facho-libérale fera tout pour encore plus verrouiller (voir les assises sur la presse, bouffonnerie de plus, voir la fin de la pub sur le faussement nommé "service public"), mais nous ?
On laisse faire aussi ?
On va encore accepter longtemps de se faire intoxiquer ?
D'assister impuissants à la ruine de ce pays pour le profit d'une minorité de goinfres.
Pire.
D'y participer.
Vu que c'est toujours la fleur au fusil que nous allons au devant de notre propre massacre.
oui, je sais, bocal et tout et tout.
Sauf que là, le PS devrait quand même se bouger le cul, et vite.
Car c'est une question importante : comment contrer cette ruine de notre pays, cette chronique d'une acculturation programmée, cet abrutissement généralisé qui est le fidèle soldat de cette ultra-droite facho-libérale.
PS (hélas !) : je rend à Jean-Pierre Martin le (C) de l'expression "ultra-droite facho-libérale". C'est toujours un plaisir de le lire.
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