1.7.09

928 - Eric Besson est un menteur

Eric Besson est un menteur
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Eric Besson est un menteur

6 commentaires:

KMS a dit…

En complément.

EdkOb a dit…

Merci pour le lien.
Me Eolas est une fine lame.

Anonyme a dit…

Eh Bé
Eh Beuh
Eric Besson ment
Eric Besson ment
Erik Besson est allemand
signé : F.N.
(Friedrich Nietzsche)
:-D ;-D
je me marre
je me marre
signé : Coluche
;-D
On peut rire de tout
mais pas avec n'importe qui
signé : Desproges
Paix aux âmes mal-nées
qui enfantent des cauchemars
signé : C.R.
(Catherine Ribeiro)

petite anthologie suggérée par l'article et présentée par Ravalbre

EdkOb a dit…

Bonjour Catherine,

Il y a des relents de Doriot, de Déat et de Bergery chez Besson.

Voir avec quelle aisance, quelle facilité, quelle absence de vergogne, cet homme est passé de la "gauche" (certes, bien pâle et usurpatrice elle aussi) à la droite la plus retorse depuis la fin du gouvernement de Vichy.

Disons que le cas Besson devient le symbole de toutes les renonciations de la gauche depuis une trentaine d'années, et qu'il représente l'aboutissement de celles-ci : tant qu'à renoncer, autant aller au bout de cette "logique" et donc de faire carrière chez ceux qui ne renoncent jamais.

Ce n'est pas une question de certitudes, d'envies, de convictions, juste l'expression d'une volonté de participer à des actes assumés, y compris les pires.
Il y a comme une fascination pour le pire.
Rien de bien nouveau, et c'est toujours assez étrange d'assister à ce genre de parcours, alors qu'il y a tellement de précédents.

Un parcours banal d'une petite frappe qui se pense comme étant un parfait serviteur de l'état.

@ bientôt, chère passantE.

Rackham a dit…

BIEN VIVRE A DONZERE
Association Loi de 1901
www.bienvivreadonzere.com/

COMMUNIQUE DE PRESSE



Monsieur Eric BESSON, Maire de Donzère et Ministre de l’Immigration, de l’Identité Nationale et du Développement Solidaire, avait sollicité du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice par lettre du 15 février 2008 que des poursuites pénales soient notamment engagées à l’encontre de Monsieur Serge TABORCIA, civilement responsable en sa qualité de président de l’association Bien Vivre à Donzère, et de Monsieur Richard CAIM, pour deux propos relevés sur le site internet de notre association qu’il estimait être diffamatoires.

Par un jugement rendu le 20 février 2009, la 17ème chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris a jugé que les deux propos incriminés n’étaient absolument pas diffamatoires, le dernier visé par les poursuites s’apparentant à une opinion émanant d’un adversaire politique lors d’une campagne pour des élections municipales, et a relaxé en conséquence Messieurs TABORCIA et CAIM.

C’est donc avec surprise que nous avons été informés par notre avocat, Maître Jean-Marcel NATAF, d’une part, puis par une citation à prévenu signifiée par voie d’huissier de justice, d’autre part, que Monsieur Eric BESSON avait en dépit des motifs parfaitement clairs de cette décision décidé d’interjeter appel. Il convient de note que le Ministère Public, quant à lui, n’a pas interjeté appel.

Une première audience de fixation aura lieu le jeudi 14 mai 2009 à 13h30 devant la Cour d’appel de Paris.

Sans remettre en cause le droit de Monsieur Eric BESSON comme de tout citoyen au double degré de juridiction, nous ne pouvons que regretter qu’il ne se soit pas incliné devant l’analyse pertinente de la 17ème chambre sur le droit à critique d’un opposant politique.

La prolongation d’une instance judiciaire paralyse toujours en effet la libre expression de la démocratie locale et du débat d’idées auquel nous sommes attachés.

Richard caim

EdkOb a dit…

Mille mercis pour ces infos, cher Rackham.

Vous signez sous votre véritable identité.
C'est inhabituel sur internet. Et donc, estimable.

Besson est devenu une icône : celle du traître.

Et je ne sacralise pas les icônes. Judas a touché ses 30 deniers.
Besson, un reconnaissance ?

Ses minables actes le qualifient. Son appel à la "justice" montre son imposture.

Ce blog est anti-Besson.
Les traîtres, les parjures, les lâches n'ont pas de place ici.

Choron, revient !