1 - De l’origine du monde (1ère partie)
2 - La rumeur réaliste (1866-1871)
3 - Nel sorriso (1ère partie)
4 - Images (La semaine sanglante)
5 - Horizon (Le chant des ouvriers)
6 - Allure (Quand viendra-t-elle ?)
7 - Scène (La défense de Paris)
8 - Huiles de plomb
9 - La Géante
10 - De l’origine du monde (2ème partie)
11 - Nel sorriso (suite)
Monica Brett-Crowther : chant (9)
Marie Thollot : chant (3, 5, 7, 11)
Violeta Ferrer : voix (1,2,5,6)
Nathalie Richard : voix (1, 2, 4, 7, 11)
Hélène Breschand : harpe (2, 3, 5, 6, 7, 11)
Janick Martin : accordéon diatonique (2, 3, 4, 6, 7, 11)
Didier Petit : violoncelle (2, 3, 5, 6, 7, 11)
Tony Hymas : piano (2, 4, 6, 8, 9, 10, 11)
Sonia Slany String and Wind Ensemble (1, 5, 10) avec :
Sonia Slany (solo quartet)
Alison Kelly, Debbie Preece, Paul Willy, Yu Yasuoroko Finch, Simon Smith : premiers violons
Everton Nelson (solo quartet)
Alison Dods, Jonathan Truscot, Lucy Waterhouse, Richard Milone : seconds violons
Vicci Wardman (solo quartet)
Bill Hawkes, Jon Thorne, Reiad Chibah : violons altos
Nick Cooper (solo quartet)
Nick Holland, Kath Jenkinson : violoncelles
Chris Laurence : contrebasse
Nina Robertson : flûte (sauf 5)
Nick Moss : clarinette (sauf 5)
Richard Berry, Richard Bayliss : cors (sauf 5)
Tony Hymas : direction
[...]
Objet disque-livre
Un livret de 112 pages accompagne le disque. Comme celui-ci, le livret est une suite d’impressions, de variations, d’interprétations, de questionnements, mais cette fois collective autour de l’oeuvre du Maître Peintre d’Ornans et ces ouvertures.
Aux côtés du texte de Manuel Jover (auteur de deux ouvrages sur Courbet), de celui de JR, de photographies de la Commune et bien sûr du fameux tableau désormais exposé au Musée d’Orsay, on trouve les séquences et nouvelles dessinées de Benjamin Bouchet, Daniel Cacouault, Luce Carnelli, Stéphane Courvoisier, Chloé Cruchaudet, Nathalie Ferlut, Sylvie Fontaine, Simon Goinard Phelipot, Stéphane Levallois, Jeanne Puchol, Rocco, Eloi Valat, Zou, soit 73 illustrations originales.
Comme le compositeur, ils s'attachent à "entendre" ce que l'Origine du Monde nous transmet.
[...]
"La femme appréhende l’imbécillité de la guerre et la nécessité de la révolte. La Commune de Paris est l’origine du monde".
J.R.
Objet disque-livre
Un livret de 112 pages accompagne le disque. Comme celui-ci, le livret est une suite d’impressions, de variations, d’interprétations, de questionnements, mais cette fois collective autour de l’oeuvre du Maître Peintre d’Ornans et ces ouvertures.
Aux côtés du texte de Manuel Jover (auteur de deux ouvrages sur Courbet), de celui de JR, de photographies de la Commune et bien sûr du fameux tableau désormais exposé au Musée d’Orsay, on trouve les séquences et nouvelles dessinées de Benjamin Bouchet, Daniel Cacouault, Luce Carnelli, Stéphane Courvoisier, Chloé Cruchaudet, Nathalie Ferlut, Sylvie Fontaine, Simon Goinard Phelipot, Stéphane Levallois, Jeanne Puchol, Rocco, Eloi Valat, Zou, soit 73 illustrations originales.
Comme le compositeur, ils s'attachent à "entendre" ce que l'Origine du Monde nous transmet.
[...]
"La femme appréhende l’imbécillité de la guerre et la nécessité de la révolte. La Commune de Paris est l’origine du monde".
J.R.
********** lien supprimé, noblesse oblige**********
7 commentaires:
Hymas très charmante - peu d'une révélation à celui-ci!
Merci mon ami
Salut Godard
Cher passant attentif
@ bientôt
Permettre aux gens de télécharger un enregistrement réalisé par soi-même lors d'un concert, c'est bien. Super, même. Mais un disque que les artistes ont bien du mal à faire et vendre, franchement, c'est moins bien... Vous croyez vraiment que vos internautes vont se ruer pour l'acheter, après ?
Vous êtes LA Hélène Collon ?
Alors là, je me rends. Pieds et poings liés. Oh oui !
Je ne sais pas du tout si mettre en ligne (avec un son compressé, donc dénaturé) cet alboume va donner envie de l'acheter.
Vieux débat.
Au moins, cela permet de faire savoir et, peut-être, de donner envie.
Ce que je sais, c'est que ceux qui mettent en ligne sont de très grands acheteurs, aussi.
J'achète tous mes alboumes, et cela me coûte un fric fou. Que je ne regrette pas un instant.
Surtout que j'ai beaucoup découvert sur internet, chez des allumés qui ne comptent pas leur temps pour alimenter des blogs où ils tentent de faire partager leurs coups de coeurs.
Et là, j'ai découvert des trésors, que j'ai téléchargé et parfois acheté.
Et pour l'anecdote, j'ai acheté plusieurs exemplaires de ce livre-disque, tellement il est beau.
J'ai des cadeaux à faire.
Je me range à vous arguments.
Au plaisir de vous croiser , peut-être un jour....
Je suis très honoré de votre avis, en passant.
Euh, mais pourquoi "LA Hélène Collon" ? Il y en a une célèbre que je ne connaîtrais pas ? :-)
Et pourquoi honoré, même en passant ? :-)
Moi je suis celle-là :
http://www.citizenjazz.com/
ou encore
http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9l%C3%A8ne_Collon
Je suis toujours très contente de trouver des concerts en téléchargement sur cette page, que je consulte pratiquement tous les jours.
Histoire de voir, j'ai téléchargé le Crispell (que j'ai déjà ! Moi aussi j'achète tout ce ce que j'écoute !)
Effectivement, pour qui aime cette musique, c'est inaudible... (Je veux parler de la compression !)
Mais je me doute que certains s'en contentent et je trouve ça dommage.
À votre place - mais vous êtes grand, hein ! - dans le cas des disques commercialisés j'aurais mis les trois premiers morceaux, moins compressés, pour appâter le chaland...
Sinon, le partage, bien sûr, le partage, toujours... faire connaître, aimer, amener les gens à aller voir ces musiciens en concert, etc. Mais au risque de "remplacer" l'achat du disque (tant que - et pour que - celui-ci existe encore), non ! :-)
Bien amicalement,
H.C.
Mille mercis, chère Hélène.
J'ai, par des chemins détournés, dans mes archives "Ombres / Portées".
Vos photos.
Il y en a une qui me fait pleurer. Et je ne triche pas.
C'est celle de Pip Pyle.
J'ai des souvenirs fabuleux d'Hatfield & The North.
Pour les extraits d'alboumes sans compression, j'y songe.
Comme je songe aux sons entiers. Surtout pour "à l'improviste".
Je suis très honoré du temps que vous m'accordez.
Je ne suis qu'un passant maladroit.
Je vous en prie, tutoyons-nous cher ami... :-)
Oui, moi aussi le souvenir de Pip me donne envie de pleurer, surtout que c'était un grand ami.
Mais quand on se verra je te raconterai une anecdote sur cette photo qui me redonne le sourire, car Pip était très très drôle, aussi. Ça sèchera peut-être tes larmes !
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