Quand le dernier arbre aura été abattu,
quand la dernière rivière aura été empoisonnée,
quand le dernier poisson aura été pêché...
Alors, on saura que l’argent ne se mange pas.
GERONIMO
Les ponts sont habituellement fréquentés pas des Anges. Seuls quelques passantEs attentif / attentives, parfois, s'ils / elles arrivent à presque fermer les yeux pour ne pas se laisser distraire, comme il nous arrive de le faire en cas de forte luminosité, peuvent, avec de la chance, apercevoir des brindilles d'Anges.
Une variation infime de luminosité, un nuage qui passe, très loin, la haut, si fin qu’il est à peine visible. Une vibration à peine perceptible, qui pourtant arrive à se faire entendre, même si l’air ambiant est saturé de sons parasites, de bruit blanc. Un souffle parfumé comme un vent de printemps, lourd du renouveau, des promesses, de la vie de retour, de parfums à venir, de vieS. Une pause, face à l’absurde compétition permanente des unEs avec les autres, où les conflits fabriqués deviennent des coutumes harassantes et mortelles, où les divisions artificielles permettent de maintenir des séparations nourries par la haine alimentée par des idéologie de vitrines, où le clinquant l’emporte, où la pression s’exerce. Une espérance, qui reste très modeste, humble, inconnue. Une beauté.
AmiEs passantEs, toutes les occasions d’écouter Lindsay sont là, pour vous.
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Les ponts sont habituellement fréquentés pas des Anges. Seuls quelques passantEs attentif / attentives, parfois, s'ils / elles arrivent à presque fermer les yeux pour ne pas se laisser distraire, comme il nous arrive de le faire en cas de forte luminosité, peuvent, avec de la chance, apercevoir des brindilles d'Anges.
Une variation infime de luminosité, un nuage qui passe, très loin, la haut, si fin qu’il est à peine visible.
Une vibration à peine perceptible, qui pourtant arrive à se faire entendre, même si l’air ambiant est saturé de sons parasites, de bruit blanc.
Un souffle parfumé comme un vent de printemps, lourd du renouveau, des promesses, de la vie de retour, de parfums à venir, de vieS.
Une pause, face à l’absurde compétition permanente des unEs avec les autres, où les conflits fabriqués deviennent des coutumes harassantes et mortelles, où les divisions artificielles permettent de maintenir des séparations nourries par la haine alimentée par des idéologie de vitrines, où le clinquant l’emporte, où la pression s’exerce.
Une espérance, qui reste très modeste, humble, inconnue.
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