21.2.09

773 - Leonard Cohen "König-Pilsener Arena, Oberhausen, Germany 2nd November 2008"


Dance me to the end of love
The Future
Ain't no cure for love
Bird on the wire
Everybody knows
In my secret life
Who by fire
Hey, that's no way to say good bye
Heart with no Companion
Anthem
Tower of song
Suzanne
Gypsy wife
The Partisan
Boogie Street
Hallelujah
Democracy
I'm your man
Take this waltz
So long, Marianne
First we take Manhattan
Famous Blue Raincoat
If it be your will
Closing time
I tried to leave you
Whither thou goest

6 commentaires:

EdkOb a dit…

http://rapidshare.com/files/200745749/LC_L_2_11_2008.part1.rar

http://rapidshare.com/files/200745755/LC_L_2_11_2008.part2.rar

http://rapidshare.com/files/200761384/LC_L_2_11_2008.part3.rar

http://rapidshare.com/files/200761392/LC_L_2_11_2008.part4.rar


De retour sur scène.
LC est descendu de sa montagne, de sa retraite, est revenu de son silence.
Pour notre plus grand bonheur.

A L a dit…

Les oreilles m'en tombent. Merci en passant pour cette belle soirée en perspective

EdkOb a dit…

Non, non, gardez bien vos oreilles ;)
C'est même indispensable.

ravalbre a dit…

Wouaou
je viens de m'émerveiller sur les taupes à lunettes et je découvre LC avec chapeau, dessous..Connaissez vous l'écrivain ? Il est aussi magnifique que le musicien... 10/18 vient de rééditer ses titres, les perdants magnifiques, The favorite game, l'énergie des esclaves.. mais les couv. sont horriblement "flashy"..enfin qu'importe le flacon, pourvu qu'on ai l'ivresse
Pokig

ravalbre a dit…

pourvu qu'on ait l'ivresse!
Tant mieux pour l'erreur de frappe, ça me permet d'ajouter qu'il écrit une superbe bio de Kateri Tekakwitha dans les perdants magnifiques Kateri c'est Catherine, il y a 10 saintes qui portent ce prénom, mais celle-là est la moins citée et connue (parce qu'iroquoise ?)

Pokig

EdkOb a dit…

Que ce soit des textes de chansons (oui, des chansons, ou des poèmes, ou des vers, ou de la prose, ou tout autre forme d'expression littéraire), ou de romans (pareil, toutes autres formes), il y à chez LC une puissance inouïe, celle du Verbe.
Je sais, ça fait un peu prétentieux, voire pompeux.

Le format des messages et des réponses ne se prête guère à une thèse sur un auteur, parolier, écrivain, chanteur, ascète, musicien, moine ou prêtre zen, sage (tzadik), ... d'où le Verbe.

@ bientôt, en passant.