Œuvre, plus que simple alboume, avec une tentative de linéarité scientifique : Darwin - tiens, au fait, où en sont les crétins créationnistes ?, Pythagore - le symbole sur la pochette, comme approche de l'infini des nombres, comme écho à l'infini des sons... comme théorème de la pratique artistique qui s'affranchit du fini.
Et puis, s'il y a un fil conducteur scientifique, il existe aussi un "avant" et un "après", ainsi que des "Global". Il en faut quand même 4, alors que Global, c'est un tout.
Donc ce n'est peut-être pas dans les titres qu'il faut tenter de chercher une clé.
Car il n'y a pas de clés, sinon celle de la liberté singulière et déconcertante d'une oeuvre libre, qui touche à des sons et des genres variés, multiples, divers, non pas sans limites, mais sans contraintes.
Il y a là une approche de l'universel, sans messages ni doctrines, mais avec des emprunts sidérants de force narrative, dans une dramaturgie cinématographique, tant la densité de cette musique est propice à la création d'images fortes.
Il faut savoir ruser avec ses propres habitudes, pour mieux se laisser surprendre par cet "Homme Approximatif" qui est une oeuvre, comme pour littéraire ou cinématographique.
Il est question ici d'un alboume infini, non pas fermé dans sa durée, mais ouvert sur un temps qui échappe au temps.
Et puis, s'il y a un fil conducteur scientifique, il existe aussi un "avant" et un "après", ainsi que des "Global". Il en faut quand même 4, alors que Global, c'est un tout.
Donc ce n'est peut-être pas dans les titres qu'il faut tenter de chercher une clé.
Car il n'y a pas de clés, sinon celle de la liberté singulière et déconcertante d'une oeuvre libre, qui touche à des sons et des genres variés, multiples, divers, non pas sans limites, mais sans contraintes.
Il y a là une approche de l'universel, sans messages ni doctrines, mais avec des emprunts sidérants de force narrative, dans une dramaturgie cinématographique, tant la densité de cette musique est propice à la création d'images fortes.
Il faut savoir ruser avec ses propres habitudes, pour mieux se laisser surprendre par cet "Homme Approximatif" qui est une oeuvre, comme pour littéraire ou cinématographique.
Il est question ici d'un alboume infini, non pas fermé dans sa durée, mais ouvert sur un temps qui échappe au temps.
3 commentaires:
http://rapidshare.com/files/200156541/DPV_HA.rar
Hors-norme, hors-genre, alboume-univers qui est plus grand que ce qu'il "enferme" dans ses sons et ses mots.
Comme une expérience heureuse de laboratoire, de celles qui pourraient faire croire qu'elle échappe aux "sorciers" qui sont aux manettes.
... comment imaginer un instant que les "sorciers" là soient dépassés par l'oeuvre ?
Indispensable.
Signaler que Daniel Palomo Vinuesa vous invite à télécharger, gratuitement, légalement, sur son site, son "Projet flou", qu'il réalisa il y a quelques années :
http://vinuesa.club.fr/projet-flou/francais/general.htm
Et signaler également qu'il collabore régulièrement avec David Fenech ou Denis Frajerman ("Les suites Volodine", alboum indispensable)
Merci de la précision, cher Kw.
Daniel Palomo Vinuesa construit une oeuvre "in progress" passionnante.
Comme un peintre qui s'applique à ne choisir dans l'immense palette des couleurs que quelques nuances, DPV construit son oeuvre avec quelques sons et instruments, pour dépasser le seul "cadre" de la musique.
L'œuvre est plus grande que la toile.
@ bientôt
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