Bruno Chevillon (basse électrique, contrebasse, électronique), Antye Greie-Fuchs (voix sur "Germania" et "Dans sa tête abaissée")
Laissant de côté sa maîtrise de l'instrument (contrebasse), ici, c'est la matière sonore qui est mise en avant.
Questionnée.
Çà craque, feule, sourd, gronde, s'étreint et s'éprend.
C'est même très dense, puissant. L'instrument échappe au musicien, plonge dans des régions inconnues, ne laissant finalement au musicien que le non-choix de le suivre.
Il n'est plus l'heure de chercher à se repérer, mais à percevoir parfois la fureur des paysages sonores étranges et peut-être même terrifiants.
S'il faut une couleur, c'est le noir.
Là où Hubert Dupont est blanc, Bruno Chevillon est noir.
Mais attention, l'un n'atténue pas ni ne réduit l'autre.
Il n'y a pas de place pour le gris.
Laissant de côté sa maîtrise de l'instrument (contrebasse), ici, c'est la matière sonore qui est mise en avant.
Questionnée.
Çà craque, feule, sourd, gronde, s'étreint et s'éprend.
C'est même très dense, puissant. L'instrument échappe au musicien, plonge dans des régions inconnues, ne laissant finalement au musicien que le non-choix de le suivre.
Il n'est plus l'heure de chercher à se repérer, mais à percevoir parfois la fureur des paysages sonores étranges et peut-être même terrifiants.
S'il faut une couleur, c'est le noir.
Là où Hubert Dupont est blanc, Bruno Chevillon est noir.
Mais attention, l'un n'atténue pas ni ne réduit l'autre.
Il n'y a pas de place pour le gris.
(lien là où vous savez)
1 commentaire:
http://rapidshare.com/files/172987523/BC_HC.rar
Un oeuvre majeure, unique, due à l'un des musiciens les plus singuliers de cette scène des musiques jamais entendues.
Pas d'écoute distraite, car pour passer, il faudra marquer un temps d'arrêt important.
C'est la condition du mouvement.
Bonne écoute, en passant
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