Stephan Oliva p
Bruno Chevillon b
Paul Motian ds
1: Interieur Jour
2: Five Miles To Wrentham
3: Dance
4: Sables
5: Fantasm
6: Blue Midnight
7: Fiasco
8: Impromede
9: Etude
10: "M"
11: Folk Song For Rosie
12: It Should Have Happened A Long Time Ago
Il n'y a rien de secret, ni de confidentiel, simplement plane (ou résonne) un mystère assez étrange autour de cette musique et des musiciens de ce trio.
Ce n'est pas une question de notoriété (tous sont reconnus et très largement estimés pour ce qu'ils sont, c'est à dire des musiciens un peu hors-pistes, hors sentiers battus, hors "prêt-à-jouer), ni d'hermétisme ou de je ne sais quel attitude fermée selon l'adage bien pensant et boboïsant qui voudrait que cette esthétique là reste inaccessible, comme si dès les premières notes on allait se heurter à l'incompréhensible alors que nous sommes là en présence d'une autre manière d'être, et comme nous sommes tous, cette musique là est accessible, car simplement belle... ce mystère fait partie de la musique, comme si l'acte même de jouer et donc d'improviser (parfois) génére du mystère.
La création, cet acte unique, ici, trouve sa plus belle expression, donc nous renvoie sans cesse à cette zone inconnue qui fait echo à la musique.
Et, parfois (comme ces si belles notes du début de "Sables" - mais c'est tout "Sables" qui nous touche), l'évidence s'impose, comme si l'auditeur attentif savait de toute éternité que cette beauté là était attendue.
Car dans cet alboume, il y a d'intenses beautés.
Multiples.
Bruno Chevillon b
Paul Motian ds
1: Interieur Jour
2: Five Miles To Wrentham
3: Dance
4: Sables
5: Fantasm
6: Blue Midnight
7: Fiasco
8: Impromede
9: Etude
10: "M"
11: Folk Song For Rosie
12: It Should Have Happened A Long Time Ago
Il n'y a rien de secret, ni de confidentiel, simplement plane (ou résonne) un mystère assez étrange autour de cette musique et des musiciens de ce trio.
Ce n'est pas une question de notoriété (tous sont reconnus et très largement estimés pour ce qu'ils sont, c'est à dire des musiciens un peu hors-pistes, hors sentiers battus, hors "prêt-à-jouer), ni d'hermétisme ou de je ne sais quel attitude fermée selon l'adage bien pensant et boboïsant qui voudrait que cette esthétique là reste inaccessible, comme si dès les premières notes on allait se heurter à l'incompréhensible alors que nous sommes là en présence d'une autre manière d'être, et comme nous sommes tous, cette musique là est accessible, car simplement belle... ce mystère fait partie de la musique, comme si l'acte même de jouer et donc d'improviser (parfois) génére du mystère.
La création, cet acte unique, ici, trouve sa plus belle expression, donc nous renvoie sans cesse à cette zone inconnue qui fait echo à la musique.
Et, parfois (comme ces si belles notes du début de "Sables" - mais c'est tout "Sables" qui nous touche), l'évidence s'impose, comme si l'auditeur attentif savait de toute éternité que cette beauté là était attendue.
Car dans cet alboume, il y a d'intenses beautés.
Multiples.
1 commentaire:
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Le trio est un art majeur, en voici une preuve.
Soyez passantEs.
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