Où il est question de l'apprentissage de la pratique d'instruments (au-delà de l'en-vie, du don, des traditions et de la culture) comme celui des Arts Martiaux.
Ici, nulle revendication du "sex, drugs and R'n'R" si tendance chez nos pseudo-révolutionnaires de salons (où l'on prend le thé et les drogues, de concert, vu que dès le départ, la "révolte" R'N'R n'en a jamais été une, juste une posture sauf en de rares cas - je vous laisse juge des cas, rares, ceux qui ont tenu dans la durée).
Il est question d'apprentissage, peut-être ponctué de rires et de chants (certainement même), mais aussi de travail.
D'engagements.
D'astreintes.
D'une dose de travail immense, comme pour les ... Arts Martiaux.
Je déteste la case "musique du monde", elle intervient quand les esprits ne peuvent pas ouvrir leur boîte à chaussures, pour y ranger leur collection de papillons de nuit.
Ou celle des hannetons.
Ou de ce que vous voulez.
En fait, la case "musique du monde" intervient quand les petits "blancs" occidentaux" sont démunis.
Ni rock, no pip (pardon, ni pop), ni rien de classable géographiquement ou par genre (genre R'n'R, ou pop, ou jazz, ou chansons, ou rap, ou .... pffffffffffff), donc nous voilà embarqué dans les "musiques du monde".
Après, nous, petits définisseurs des genres classables, on ... classe.
Dans des bacs.
Étiquetés.
Mettre des étiquettes, ça rassure.
Surtout quand la musique vient d'ailleurs.
Et qu'elle ne vient pas des pays occidentaux.
Bijan est le plus jeune de la "tribu" Chemirani.
Et quand on lui parle de la case "musique du monde", ça le fait sourire.
Il n'a pas besoin de cette case, il est du monde.
Et être "du monde", ce n'est pas une case ou une étiquette.
C'est être du monde.
N'empêche, sa musique universelle est magique.
Ce n'est pas un surdoué, même s'il est issu d'une famille de musiciens.
Il a baigné dans cette musique, mais il en a fait aussi un objet d'apprentissage, comme un Art Martial.
Qui réclame humilité et travail, même pour les plus doués.
D'ailleurs, "doué", en Art Martial, cela n'existe pas.
Seul compte le travail.
L'humilité.
Le respect pour le Maître.
Et Bijan (comme ses frères et soeurs, comme ses parents, comme toutes celles et ceux de sa lignée) sont des acharnés, de travail, de musique, d'humanité.
C'est ainsi qu'il tracent dans le temps.
Je le sais.
(lien dans le propos)
Ici, nulle revendication du "sex, drugs and R'n'R" si tendance chez nos pseudo-révolutionnaires de salons (où l'on prend le thé et les drogues, de concert, vu que dès le départ, la "révolte" R'N'R n'en a jamais été une, juste une posture sauf en de rares cas - je vous laisse juge des cas, rares, ceux qui ont tenu dans la durée).
Il est question d'apprentissage, peut-être ponctué de rires et de chants (certainement même), mais aussi de travail.
D'engagements.
D'astreintes.
D'une dose de travail immense, comme pour les ... Arts Martiaux.
Je déteste la case "musique du monde", elle intervient quand les esprits ne peuvent pas ouvrir leur boîte à chaussures, pour y ranger leur collection de papillons de nuit.
Ou celle des hannetons.
Ou de ce que vous voulez.
En fait, la case "musique du monde" intervient quand les petits "blancs" occidentaux" sont démunis.
Ni rock, no pip (pardon, ni pop), ni rien de classable géographiquement ou par genre (genre R'n'R, ou pop, ou jazz, ou chansons, ou rap, ou .... pffffffffffff), donc nous voilà embarqué dans les "musiques du monde".
Après, nous, petits définisseurs des genres classables, on ... classe.
Dans des bacs.
Étiquetés.
Mettre des étiquettes, ça rassure.
Surtout quand la musique vient d'ailleurs.
Et qu'elle ne vient pas des pays occidentaux.
Bijan est le plus jeune de la "tribu" Chemirani.
Et quand on lui parle de la case "musique du monde", ça le fait sourire.
Il n'a pas besoin de cette case, il est du monde.
Et être "du monde", ce n'est pas une case ou une étiquette.
C'est être du monde.
N'empêche, sa musique universelle est magique.
Ce n'est pas un surdoué, même s'il est issu d'une famille de musiciens.
Il a baigné dans cette musique, mais il en a fait aussi un objet d'apprentissage, comme un Art Martial.
Qui réclame humilité et travail, même pour les plus doués.
D'ailleurs, "doué", en Art Martial, cela n'existe pas.
Seul compte le travail.
L'humilité.
Le respect pour le Maître.
Et Bijan (comme ses frères et soeurs, comme ses parents, comme toutes celles et ceux de sa lignée) sont des acharnés, de travail, de musique, d'humanité.
C'est ainsi qu'il tracent dans le temps.
Je le sais.
(lien dans le propos)
1 commentaire:
http://rapidshare.com/files/176355618/Bijan_Chemirani_-_Eos.part1.rar
http://rapidshare.com/files/176359332/Bijan_Chemirani_-_Eos.part2.rar
Impossible de "classer" un univers musical.
Voilà pourquoi le passant se refuse au publipostage.
Bonne écoute, passantEs.
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